Salwan Mumika, le réfugié irakien maudit qui a suscité une large controverse par ses actions incluant la profanation et la brûlure du Saint Coran à Stockholm, en Suède, est devenu le centre d'attention des médias et du public après son déménagement en Norvège. Ce déménagement est intervenu après l'annulation de son permis de séjour par l'Agence suédoise de l'immigration, en raison des informations fausses fournies dans sa demande initiale. Malgré cela, la Suède lui a accordé un permis de séjour temporaire, incapable de le renvoyer en Irak en toute sécurité.
Le départ du maudit de la Suède a été perçu comme une fuite des poursuites qu'il a subies de la part des institutions gouvernementales, comme il l'a expliqué dans sa lettre publiée par les médias, annonçant son arrivée en Norvège où il a l'intention de demander l'asile. Cette démarche s'inscrit dans sa recherche d'un refuge sûr qui le protégerait des menaces et des pressions auxquelles il a été confronté en raison de ses actes répréhensibles.
Et avec la circulation des nouvelles concernant la mort du maudit en Norvège sur les réseaux sociaux, aucune des agences de presse internationales ou locales en Norvège et en Suède n'a confirmé la véracité de ces informations. Il semble que l'absence de sources officielles et de confirmations concernant sa mort rend, malheureusement, ces nouvelles sujettes à caution.
Dans ce contexte, l'importance de cet événement met en lumière les défis auxquels sont confrontés les individus déviants dans leur quête de sécurité et de stabilité, et comment les actes répréhensibles peuvent compliquer leurs parcours.